La fabrication d'un papyrus

 

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1)       Les tiges de Papyrus étaient soigneusement sélectionnées. Elles pouvaient atteindre jusqu’à 4 mètres de haut. Ici, un des exemplaires cultivés au Muséum national d'histoire naturelle de Paris.

2)      La tige est découpée en "sections".

 

3)      Chaque morceau est ensuite écorcé minutieusement.

 

4)      Puis, on les découpe en bandes.

 

5)      On fait tremper ces bandes dans l’eau durant environ une heure.

 

6)      Puis, une première série de bandes verticales, selon le format souhaité, sont juxtaposées pour constituer la couche inférieure de renforcement.

 

7)      Les bandes doivent être aussi jointives que possible.

 

8)      Une deuxième série de bandes horizontales de 10 à 20 cm, posées perpendiculairement à la première, forment la seconde couche, destinée à recevoir l'écriture.

 

9)      Puis l'ensemble est pressé, ici entre deux buvards, jusqu'au séchage complet de la feuille ainsi formée.

  

10)  Une vue du papyrus, quasi prête à l’emploi. Le rouleau de papyrus est composé d'une vingtaine de feuilles de ce type, collées les unes aux autres : c'est le volumen.

  

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